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Quarouble (59) le 10 octobre 1954

Caractéristiques générales

  • Num Base :
  • Département :
  • Lieu d'observation :
  • Latitude :
  • Longitude :
  • Date d'observation :
  • Heure :
  • Durée (HH:MM:SS) :
  • Météo :
  • Type d'observation :
  • Nbre de témoin(s) :
  • Enquète officielle :
  • 877
  • Nord (59)
  • Quarouble
  • 50.383
  • +3.616
  • 10 octobre 1954
  • 12:00 heures
  • N.C.
  • Pas d'indication météo
  • Visuel proche avec personnages
  • 2
  • Non

Caractéristiques de l'objet

  • Nbre d'objet :
  • Type d'objet :
  • Taille :
  • Couleur :
  • Luminosité :
  • Caractéristique visuelle :
  • Vitesse :
  • Mouvement/Déplacement :
  • Objet au sol :
  • Disparition instantanée :
  • 1
  • Soucoupe avec dôme
  • Non précisée
  • Métallique (argent,)
  • Non précisée
  • hublots
  • non définie
  • Au sol puis décollage
  • Oui
  • Non

Caractéristiques de/des entité(s)

Nombre : 5

Description : Petit 1m20 à 1m30 avec combinaison et casque

Action : Entre dans objet au sol, Discution entre entités, Touche le témoin, Parle au témoin, S'empare d'un animal,

Type d'effets constatés

Effets physiques : Trace au sol, Bruits de voix, disparition d'animaux,

Observation

Le témoin, Marius Dewilde, raconte :
" II était entre 11 h 30 et 12 h, lorsque mon fils, âgé de trois ans et demi est venu m'avertir qu'il y avait une "auto sur la voie ". Je suis sorti, j'ai vu, à 50 mètres, un engin identique à celui qui s'était posé sur l'autre voie, un mois plus tôt. Il y avait une ouverture rectangulaire à la base de l'engin, au-dessous de sa coupole. Tout autour de cette base, se trouvait une série de bosses dont je ne compris pas la signification. Il y avait aussi, au-dessus de l'ouverture, comme une rangée horizontale de hublots; j'en distinguais trois ou quatre, mais je ne vis rien au travers.
Des êtres d'apparence humaine s'affairaient autour de l'appareil. Ils étaient vêtus d'une combinaison gris foncé les enveloppant entièrement, ils pouvaient mesurer 1 m 10, ils portaient un casque pourvu d'une partie transparente devant le visage, des gants et des chaussures, le tout en une matière très souple gris mat foncé. Un bourrelet descendait de leur bras droit jusqu'à mi-cuisse. Ils étaient deux sur le plateau du disque, un de chaque côté, j'en vis sortir deux autres de derrière, plus exactement, peut-être de dessous. Un cinquième sortit par l'ouverture, descendit à terre et parla aux autres; il me parut être le chef, il vint vers moi.
Je n'avais pas cessé d'avancer vers l'engin, de sorte que notre rencontre eut lieu à environ 3 mètres de l'engin. Le "chef " qui était devant moi pouvait mesurer 1 m 10, à travers la partie transparente de son casque souple, je voyais son visage, un peu de ses oreilles et la naissance de ses cheveux. L'aspect général était asiatique, mongole; la mâchoire était assez forte, les pommettes hautes, les cheveux et les sourcils très noirs, les yeux bruns, la peau assez brune. L'être a flatté mon fils que je tenais dans mes bras, m'a tapé sur l'épaule en souriant, et s'est mis à me parler dans une langue que je connaissais pas. Il semblait ennuyé que je ne le comprenne pas. Je l'entendais très bien à travers son casque. Je vis qu'il avait les dents très blanches, impeccables. Son visage était beau et régulier. Les êtres semblables à lui souriaient eux aussi, par instants. J'étais à trois mètres de l'appareil et percevais des plaintes sourdes à l'intérieur; il me sembla entendre répéter : Boukak... boukak... En regardant par l'ouverture, je vis deux autres êtres, l'un allongé au sol (je supposai que c'était lui qui gémissait) l'autre, debout près de lui. Comme je me trouvais presque dans l'axe de la porte, je pus apercevoir, à l'intérieur, un matériel "briqué " et réellement étrange, des boutons de couleurs différentes, des sortes de manomètres, etc., en métal sombre et gris, impeccables de propreté. L'être qui me semblait le "chef " fit quelques pas vers la volaille qui picorait non loin de nous, se baissa, saisit une poule qui, au lieu de s'enfuir en courant comme le font ces animaux, "s'abounit " et se laissa prendre docilement; j'en fus stupéfait. Il la montra aux autres, puis la donna aux deux êtres qui étaient restés près de la porte sur le plateau. Ils la prirent en se baissant un peu.
Un panneau obtura la porte, après que les cinq êtres eurent pénétré à l'intérieur, s'aidant mutuellement en se tendant la main. L'engin décolla verticalement, sans bruit et sans fumée, et disparut vers l'est.
Sur une voie ferrée, à proximité de celle où atterrit l'objet observé par M. Dewilde le 10 septembre 1954, Marc Thirouin découvrit dix traces identiques à celles laissées lors du premier atterrissage. La forme et l'orientation des coupures terminales semblent suggérer l'action de deux appendices tranchants s'enfonçant dans le bois, l'un verticalement pour assurer l'immobilisation latérale de l'engin; l'autre en oblique en direction du premier, pour l'empêcher de s'élever. Pour Marc Thirouin, ces marques n'avaient aucun rapport avec les traces laissées par une pression exercée par un objet de quarante tonnes mais par l'amarrage d'un engin qui, quelles que fussent ses dimensions, devait être très léger.
Au moment du décollage de l'engin, Marius Dewilde vit au-dessous comme une espèce de quadrillage. Il en est sorti comme une traînée rougeâtre et à ce moment se fit sentir une odeur de foin brûlé accompagnée d'un effet de chaleur (sur ces voies utilisées par les mineurs des aciéries de Blanc-Misseron, il passe deux trains par jour. Il y a beaucoup d'herbe aux alentours et M. Dewilde a peut-être senti l'herbe roussie par le départ de l'OVNI et non l'odeur que pourrait éventuellement provoquer le mode de propulsion.).

Sources

Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L. ** éd. Alain Lefeuvre 1979